Nous Aider

Nos programmes de développement, dits « Actions », sont des initiatives locales visant à améliorer les conditions de vie des enfants les plus pauvres. Nous créons ainsi un environnement propice à la scolarisation. Il s’agit par exemple de constructions d’écoles, de foyers, d’accès à l’eau, d’achat de fournitures scolaires, etc.
Les projets répondent aux besoins élémentaires que nous constatons sur le terrain : un enfant doit être nourri, soigné, lavé, vêtu avant d’aller à l’école. Et encore faut-il que son village dispose d’une école… Nos projets sont donc menés pour remédier à ces manques importants. Ils constituent un préalable indispensable à notre soutien éducatif.

Nous rejoindre

Adhérer à une association comme “Le Regard d’Anna” est essentiel pour la faire vivre. L’adhésion témoigne de votre solidarité pour l’objet de notre association. 

Plus qu’une contribution financière, c’est aussi et surtout une marque de soutien qui apporte une crédibilité vis à vis de nos partenaires. Votre soutien moral et financier nous donne du poids.

Grâce à nos adhérents, à nos partenaires et aux événements organisés chaque année pour collecter des fonds, de nombreuses actions déjà été mises en places,

Nous aider financièrement

En complement des cotisations issues des adhésions de ses membres, l’association à besoin de sources de revenus complémentaires.
 
Grâce à la générosité de ses donateurs et des ses partenaires, Le regard d’Anna a pu mener à bien plusieurs actions auprès des enfants défavorisés en particulier au Vietnam et à Madagascar.
 
Les projets développés par l’association servent à promouvoir la qualité de vie par l’éducation, l’accès à l’eau et à la sécurité.
 
L’aide financière peut être mise en place de différentes façons.

Nous aider autrement

  • Aide dans les bidonvilles : L’exode rural et les migrations entraînent dans le monde entier une concentration de population autour des villes. De cette croissance désordonnée et souvent rapide naissent des bidonvilles qui se développent en périphérie. S’y concentrent misère et violence.
  • Education : À Madagascar, la Constitution impose à l’État d’organiser « un enseignement public, gratuit et accessible à tous » mais dans les faits, l’école, même publique, est loin d’être gratuite. En plus des frais de scolarité, les parents d’élèves doivent souvent contribuer au paiement des salaires des « maîtres Fram », ces enseignants qui n’ont en poche que le baccalauréat. Face à ces frais considérables pour les foyers les plus vulnérables, de nombreux parents ne peuvent scolariser leur enfant.